Humour

Zone de Texte: Mauvaise foi

Simon Bensoussan est en voiture en plein Sentier à Paris et cherche désespérément une place pour se garer. Il fait le tour, il attend, il va même chercher un peu plus loin, rien.
Il a un rendez-vous d'affaires très important et il risque de se mettre en retard. Mais rien, aucune place !
Désespéré, il regarde vers le ciel et implore :
"Mon Dieu, si tu me trouves une place de parking dans les cinq minutes, je te promets de ne plus faire d'écart et de manger toujours kasher, de faire Chomer-Chabat, de respecter Yom-Kippour et toutes
les fêtes juives"...
Et alors - Ô miracle ! - une place se libère juste devant lui !
Alors Simon lève les yeux vers le ciel et dit :
"Cherche pas, mon Dieu, j'ai trouvé" !

Zone de Texte: Rien ne change en 2007

Il était une fois un jeune homme qui, au cours d'une soirée, tomba instantanément amoureux de trois jeunes filles.
Par respect pour ces demoiselles (par peur surtout de ne pas assurer), il mit en place une procédure de sélection. Il confia à chacune d'entre elles, une somme de 2000 euros qu'elles pouvaient employer à loisir durant tout un mois. A l'issu de ce mois, il fut convenu qu'il choisirait celle qui, à son avis, avait le mieux utilisé cet argent. Un mois plus tard il demanda donc aux trois jeunes filles de rendre compte de leurs
dépenses.

La première (qu'il trouva changée) lui expliqua qu'elle avait consacré la somme à des séances d'esthéticienne, de manucure, pédicure, et à un abonnement en salle de gym... Car de son point de vue il était absolument essentiel pour une femme d'être toujours belle pour l'homme qu'elle aimait.

Notre jeune homme partit, troublé et séduit, rendre visite à la deuxième qui lui exposa ses dépenses : des dizaines de packs de bière, un abonnement à Canalsatellite et un canapé très confortable pour regarder la télé. Elle estimait pour sa part qu'une femme devait
tout faire pour contribuer au repos et à la détente de l'homme qu'elle aimait. Il la quitta touché et perplexe...

La troisième, quant à elle, lui annonça d'emblée qu'elle n'avait pas dépensé l'argent. Elle l'avait fait fructifier ; les 2000 euros étaient devenus 3000. Elle lui expliqua qu'elle souhaitait construire sa vie avec lui et qu'il était préférable qu'ils aient de l'argent de coté. Bien évidemment, la flèche atteint sa cible et notre jeune homme se trouva très embarrassé : les jeunes femmes avaient toutes les trois touché une corde sensible.

Pour conclure
, son embarras dura peu, il choisit celle qui avait les plus gros nichons. Ce n'est pas parce qu'on est en 2007 que les choses vont changer...

Zone de Texte: Bonheur à partager

A lire jusqu'au bout, c'est extrêmement sérieux et ça donne à réfléchir !

Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital.
L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées, couché sur le dos. Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service
militaire et les endroits où ils avaient été en vacances.
Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'assoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que
les enfants faisaient voguer leurs bateaux modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait percevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque. Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.
Les jours et les semaines passèrent.

Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle
le laissa seul.
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or, tout ce qu'il vit, fut un mur !
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.
"
Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager", commenta-t-elle.

Epilogue :
Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve double. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.
Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent. L'origine de ce message est inconnue, mais il porte bonheur à chaque personne qui le
transmet.