Envie d’un bol d’air pur ! Envie de vous évader ! Venez randonner avec la GV de Vizille. |
Courte pause avant la montée au refuge de Vallonpierre |
Arrêt boisson et encas dans le Vallon Clos |
Marche tranquille dans le Vallon Clos avant la montée plus raide vers le refuge de Vallonpierre |
Le nouveau refuge de Vallonpierre |
Le lac près du refuge de Vallonpierre |
Le Col de Vallonpierre |
Le Pic de Vallonpierre |
Le refuge de Vallonpierre (2271 m)
Date de la sortie : 17 Septembre 2007 Accès routier : Départ Vizille à 7 h – Direction Gap N85, route de Grenoble. Tourner à gauche D985 direction Saint Firmin, la Chapelle en Valgaudemar et arrêt au parking en contrebas du refuge hôtel du Gioberney. Arrivée au parking à 9 h.
Départ de la balade : Parking près du chalet refuge du Gioberney Dénivelé : 700 m ou 1200 m selon les participants Durée de la balade : 2 h 30 ou 5 h 30 Distance : 6 Km ou 13 Km Itinéraire Le départ de la montée au refuge de Vallonpierre commence par un petit sentier herbeux en aval du parking du chalet du Gioberney (1561 m). Tout d’abord, descendre à flanc de montagne le sentier du Ministre pour pénétrer dans le Vallon de la Séveraisse avec le Sirac en point de mire. Continuer en remontant ce sentier en balcon pour trouver un carrefour (à gauche le refuge Chabournéou et à droite le refuge Vallompierre). Abandonner le sentier de Chabournéou qui part tout droit sur la gauche pour descendre dans le vallon et traverser la Séveraisse puis le torrent de Vallonpierre. Prendre alors le sentier GR54 qui monte dans les prés du Vallon Clos où nous apercevons des troupeaux de moutons et une petite bergerie. Le sentier longe la Severaisse et s'élève ensuite à travers des buissons d'aulne vert dans les pentes du Clos Civier et des Vernets pour accéder à la cabane pastorale de Vallonpierre (2240 m) (d’après les dires des accompagnateurs, le berger est peu sympathique ou tout au moins très sauvage !). Après une bonne montée en lacets (670 m de dénivelé) dans les pâturages, le nouveau refuge de Vallonpierre (2271 m, situé à quelques mètres de l’ancien refuge) se découvre au bord d'un petit lac dans un paysage « carte postale ». Petite anecdote : En accompagnateur très serviable, Jean-Paul porte deux sacs à dos pendant la montée vers le refuge. Quel Homme ! Les grenouilles nous accompagnent tout le long du sentier. Elles doivent ‘annoncer’ la pluie !!!
Accueillis par la gardienne Myriam, nous posons nos sacs à dos dans la salle d’accueil où nous chaussons des sabots en caoutchouc avant le déjeuner, tiré de nos sacs à dos, dans la salle à manger du refuge ; la température à l’extérieur ne nous encourage pas à déjeuner sur la terrasse au soleil.
En début d’après midi, sauf trois d’entre nous un peu fatigués, nous continuons le sentier GR54 qui monte dans les alpages d’où nous pouvons admirer des marmottes bien dodues profitant des derniers rayons de soleil avant leur prochaine hibernation. Dans le vallon, nous apercevons aussi plusieurs chamois. Noëlle veut bronzer et s’arrête avant le Col en compagnie de Nicole et de René, accompagnateur soucieux de ne pas laisser seuls des randonneurs de la GV. Nous poursuivons encore dans des éboulis fins de schistes noirs jusqu’au col de Vallonpierre (2607 m). Magnifique vue sur le Sirac enneigé. Nous, en fait seuls six d’entre nous souhaitons poursuivre notre balade, atteignons le Pic de Vallonpierre (2738 m) qui nous récompense de nos efforts. Panorama superbe sur le Pic de Clapousse, l’Aiguille de Morges, le Vieux Chaillol, etc… Retour au refuge pour les douches : en fait, une seule douche n’est disponible pour 2 personnes à la fois mais deux boites pour recevoir les jetons achetés auprès de la gardienne. René et sans doute d’autres se trompent de boite…. ! Christian et Jean-Paul tentent d’allumer le poêle du refuge avec quelques morceaux de bois. Installation dans les dortoirs avant le souper : soupe aux oignons et épices particulièrement appréciée par Christiane !!, colin accompagné de riz et carottes à la tomate, fromage et salade de fruits frais, le tout arrosé de vin rouge. Pour terminer ce bon repas, le génépi de Jean-Paul et le digestif (costaud) avec sucre proposé par la gardienne du refuge. Peu de lumière disponible au refuge. Pluie et orage au dehors. Chacun regagne son lit assez tôt dans la soirée. Nuit sans péripétie particulière dans les dortoirs (Carmen se retrouve le mardi matin avec des couvertures mouillées à cause des fuites d’eau des portes fenêtres). Lever pour le petit déjeuner à 7 h 30 précises après avoir complètement vidé les chambres. La gardienne distribue alors les casse-croûtes et les thermos d’eau chaude. Départ rapide devant le balai de la gardienne et sous la pluie battante
Groupe : 19 personnes avec quatre animateurs et un animateur invité.
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